Daniel Lozakovich Parents

Daniel Lozakovich Parents – Daniel Lozakovich, un violoniste suédois, est devenu célèbre en tant qu’enfant prodige et a reçu des distinctions à l’adolescence, décrochant finalement un contrat d’enregistrement avec le prestigieux label Deutsche Grammophon à l’âge de 15 ans.

Stockholm. Ses parents n’étaient pas musiciens, il n’a donc reçu aucune formation musicale de leur part. Au lieu de cela, il a été encouragé à poursuivre son autre passion : l’athlétisme (et a continué à pratiquer le football et la boxe après avoir atteint des niveaux de classe mondiale en tant que violoniste).

L’objectif d’inscrire Lozakovich dans une école de musique à l’âge de six ans était de lui fournir une éducation équilibrée. Il a pris un instant comme au violon, et après une seule leçon, son professeur a déclaré qu’il avait “un talent extraordinaire”. En seulement deux ans, Lozakovich partageait la scène avec Vladimir Spivakov à la tête des Virtuoses de Moscou.

Lozakovich a assisté à des festivals dans toute l’Europe pendant les étés tout en étudiant dans des écoles de musique à Vienne, Karlsruhe (où son professeur était Josef Rissin) et Genève. Il a appris de nombreux grands noms, dont le professeur Eduard Wulfson et les musiciens Jascha Heifetz et Yehudi Menuhin. Les principaux chefs d’orchestre ont rapidement remarqué le jeu de Lozakovich.

Le premier était le légendaire Valery Gergiev, qui a invité Lozakovich à interpréter le Concerto pour violon en ré majeur, op. 61, avec l’Orchestre du Théâtre Mariinsky le soir du Nouvel An 2015. Les chefs d’orchestre Andris Nelsons, Semyon Bychkov et Hartmut Haenchen ont rejoint les rangs après Robin Ticciati.

Même après avoir signé un contrat d’exclusivité avec Deutsche Grammophon en 2016, le jeune violoniste a pris son temps pour sortir son premier album ; il a continué à élargir lentement son répertoire, a poursuivi d’autres intérêts (y compris la musique populaire et les sports) et était déjà assez occupé à faire des tournées au Japon avec l’Orchestre symphonique de la radio de Francfort.

Deux des concertos pour violon de Bach et une partita solo figuraient sur le premier album de Lozakovich en 2018 pour Deutsche Grammophon, enregistré avec l’Orchestre de chambre de la radio bavaroise. Lozakovich a poursuivi ses études cette année-là au Collège du Léman de Genève.

L’Orchestre symphonique de Toronto présentera un programme All-Tchaikovsky du 27 novembre au 1er décembre, et l’adolescent virtuose Daniel Lozakovich discute du Concerto pour violon de Tchaïkovski notoirement difficile qu’il interprétera avec l’orchestre pendant cette période. La populaire Ouverture de 1812 est également incluse, ainsi que la Symphonie n° 1 “Winter Dreams”, qui est rarement jouée.

Le jeune violoniste convient parfaitement au style du programme. Tchaikovsky: None But The Lonely Heart, un album avec lui et l’Orchestre Philharmonique National de Russie sous la direction de Vladimir Spivakov, a été publié sur le label Deutsche Grammophon le 18 octobre 2019.

En plus du Concerto pour violon et de la Méditation pour violon et orchestre, il existe également des versions de deux œuvres vocales : l’Aria de Lensky d’Eugene Onegin et le mélancolique “None but the Lonely Heart” de l’Op.6 n°6. Après avoir signé avec DG à 15 ans, Daniel a sorti deux albums avec le label.

Avec Spivakov et le Moscow Virtuosi Chamber Orchestra, Daniel a fait ses débuts orchestraux à l’âge de neuf ans. Depuis, il s’est produit avec une grande variété d’orchestres et d’ensembles de chambre européens, dont l’Orchestre national de France, l’Orchestre philharmonique royal de Stockholm, l’Orchestre de chambre de Vienne, l’Orchestre philharmonique de Moscou et l’Orchestre philharmonique national de Russie.

Il a remporté de nombreux prix, dont la première place au Concours international de violon Vladimir Spivakov 2016 et la première place et le grand prix au Concours international de musique EMCY 2012.

En 2007, Daniel a repris la guitare. Bien qu’ils soient mélomanes, personne dans sa famille n’était interprète. Pas même près d’être musical, dit-il. En raison des caractéristiques uniques du violon, il s’est intéressé à la musique. “J’ai su dès le moment où je l’ai vu que le violon était l’instrument qu’il me fallait.” Même petit, il se souvient d’avoir vu un spectacle. J’ai été tellement ému par le son que j’en ai eu les larmes aux yeux.

Ses parents ont vu la sagesse d’encourager cette détermination, ce qui est inhabituel chez les enfants d’âge préscolaire. Pour faire simple, “j’ai eu de la chance”, dit-il. Néanmoins, il n’a pas été facile d’essayer de convaincre ses parents.

Daniel Lozakovich Parents : Alena Lozakovitj

Il explique : « Au début, ils étaient horrifiés. Personne n’aime avoir un musicien novice vivant avec eux. Il affirme qu’en grandissant, sa mère l’a toujours envisagé comme un joueur de tennis professionnel. Mais à la fin, il a réussi à les convaincre.

Aniel reconnaît l’importance de ses éducateurs et affirme que le fait qu’ils aient été scolarisés en Russie était une heureuse coïncidence. Ce que je veux dire, c’est que “quand je cherchais un professeur, ça s’est passé comme ça”.

Néanmoins, Daniel attribue une partie de son appréciation pour la musique russe en particulier à leur influence.Le professeur Josef Rissin de la Haute école de musique de Karlsruhe et le professeur Eduard Wulfson du Conservatoire de musique de Genève ont contribué à sa croissance en tant que personne, pas seulement en tant que musicien.

Aussi en tant que personne », ajoute-t-il. Il considère que la fonction d’enseignant est la plus cruciale. Si vous passez une journée horrible, vous pouvez toujours vous entraîner et maintenir votre niveau de forme physique.

Daniel apprécie un bon défi, et le Concerto de Tchaïkovski fait l’affaire. En fait, dit-il, Tchaïkovski lui-même n’était pas un violoniste qualifié. Les contraintes physiques dépassaient son entendement. Il y avait “certaines sections qui n’étaient pas particulièrement confortables”, admet-il.

Le défi technique, cependant, est toujours subordonné au lyrisme de Tchaïkovski. Daniel explique : « Il y a ce genre de matériel, qui n’est pas forcément excellent pour le violon, mais c’est fantastique pour la musique. Tout est question de musique, donc la technique devrait aider.

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